If the pretty young things in Parisian fashion blogs like Garance Doré wrote songs, they would be like this: synth-y lullabies full of heart-bursting sincerity, plus that French je ne sais quoi. That is, they would sound like Birkii, the latest and greatest of the ingenue chanteuses á la fran鏰ise. But more Breakbot than Edith Piaf, this former conservatory student was recently chosen by fashionista music label Kitsuné for their Paris compilation. Her single “Shade of Doubt” is both old and young, sweet and a little bitter. And the video features Birkii, a gamine brunette, romancing a cardboard cutout of a cowboy Paul Newman. It’s strangely happy-sad — kind of like Birkii.

Singer-songwritery electropop, melancholy melodies with edge. A sweet voice floats over late ’80s rhythms.

Birkii entre au conservatoire à l’鈍e de 5 ans pour étudier le violon, élève douée et primée elle passe deux décénnies immergée dans le monde du classique.
Elle découvrira et appréciera ensuite de nouvelles sonorités plus pop qui lui donneront envie de composer, bricoler, tester, et s’aventurer sur des logiciels de composition pour enregistrer ses premières démos avec son Casio SK1, petit synthétiseur offert par sa colocataire.
Birkii raconte aujourd'hui les tourments d'une jeune fille aux idées noires et roses sur des mélodies lascives, des bo顃es à rythmes pop et des contre champs teintés de souvenirs d’été. Les basses funky entrecoupées de claps incisifs percutent les nappes analogiques pour nous faire vibrer.